30 août 2010

Gallica Août 2010

Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France. Edition 3,Tome 8 / par de La Chenaye-Desbois et Badier -Schlesinger frères (Paris)-1863-1876
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5424931d

Études biographiques sur Mgr Martial, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier, par J.-M. Poulain-Corbion,... -L. Prud'homme (Saint-Brieuc)-1862
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56240415

Dictionnaire biographique des membres du clergé catholique... / publié sous la direction de M. Henry Carnoy,... -Henry Carnoy (Paris)-1895
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k61066827

Notice généalogique sur la famille Mac Sheehy, anciennement seigneurs de Connello, dans la province de Munster en Irlande, suivie de pièces justificatives... par M. Amédée de La Ponce -impr. de Mme Smith (Paris)-1848
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55291019

La Famille Pitou, par A. Gautereau. Tome 2 -A. Cadot (Paris)-1846
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57946029

Notice historique sur François-Joseph Quesnot, professeur de mathématiques transcendantes au Lycée de Caen et membre de l'Académie... de la même ville, par M. Bouisset,... lu à la séance... du 24 ventôse an XIII -Vve Lebaron (Caen)-1805
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58096298

Biographie de la famille Abbatucci, illustrée par Janet-Lange, texte par Jean de La Rocca -G. Barba (Paris)-1857
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k61240571

Notice sur Jules Charles Rieu, de son vivant pasteur de l'Église réformée française de Frédéricia, en Danemark, par F. Monod fils,... 2e édition -J. J. Risler (Paris)-1831
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58096565

Notice biographique sur M. Dominique Rives, ancien conseiller d'État,... [Signé : Réaume.] -A. Le Blondel (Meaux)-1864
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5809662w

Le nobiliaire du Velay et de l'ancien diocèse du Puy (noms féodaux). Tome 7 / par le vicomte Gaston de Jourda de Vaux,... ; planches d'armoiries dessinées par l'auteur -libr. ancienne et moderne Badiou-Amant (Lyon)-1924-1933
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6102967b

Éloge de Blaise Pascal, par M. Worbe,... -impr. de F. Baudry (Rouen)-1815
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58096639

Mme Vve Serret. (2 avril 1864.) -Impr. de Carion (Cambrai)-1864
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5788102j

Histoire et généalogie des quatre branches de la famille Bonaparte, depuis 1183 jusqu'en 1855 ; par A. P.-M. -Perisse frères (Lyon)-1855
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6124377t

De l'Excellence du pouvoir absolu, ou de Quoi vous plaignez-vous ? par Raban -les Libraires du Palais-Royal (Paris)-1824
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57962474

Les Vingt-cinq Apparitions de l'archange Raphaël au laboureur Thomas-Ignace Martin de Gallardon en Beauce dans les premiers mois de 1816. Suivies de l'Entretien de Martin avec le Roi écrit sous sa dictée en 1828. 5me Edition -imp. de Crémier-Teyssier (Nîmes)-1886
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5796276v

Amours et galanteries de Jupiter-Scapin, ou de Nicolas Bonaparte -Tiger (Paris)-1816
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6124480n

Armorial de Béarn : 1696-1701 : extrait du recueil officiel dressé par ordre de Louis XIV [sous la direction de C. d'Hozier] / texte publié d'après les manuscrits de la Bibliothèque nationale et annoté par A. de Dufau de Maluquer,... et J.-B.-E. de Jaurgain... -H. Champion (Paris)-1889-1893
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5774144c

27 août 2010

Les Bologne du Pays Langrois

Extrait d'un article de Jean Martin-Salhorgne dans les Cahiers Haut-Marnais
http://www.archive.org/details/lescahiershaut4042chauuoft
page 109


Le nom de Capizuchi indique assez l'origine italienne de cette famille. Nous allons voir comment elle passa en France et en quelles circonstances elle essaima dans la région Langroise.

La généalogie des Capizuchi remonte aux temps Carolingiens. On y trouve de hauts dignitaires ecclésiastiques, dont trois ont reçu la pourpre cardinalice : Robert, homme de grand mérite, dit-on, par le pape Urbain II en 1097, puis Jean-Robert, par Honoré II en 1126, enfin Raymond, en 1682 par Innocent XI Ce sont encore trois évêques de Digne : Étienne, qui donna l'absolution à Henri III mourant et lava Henri IV de l'hérésie huguenote, puis Antoine et Raphaël, ce dernier mort à Draguignan en 1657. Notons qu'un des archevêques-princes de Salzbourg s'appelait Géobaldus de Thun Capizuchi. On trouverait encore un maître du Sacré Palais et plusieurs généraux des troupes pontificales.

Au Moyen-âge le nom était bien connu à Rome et surtout à Bologne la Grande; il a été porté par une place et par une rue de la capitale italienne.

C'est par la branche bolonaise que les Capizuchi se fixèrent en France. L'un d'eux, Pierre, ayant eu une mauvaise querelle, dut porter ses pénates à Barcelonnette, au comté de Nice, dans les états du duc de Savoie, suivi de l'un de ses frères prénommé Jacques.

Ce Pierre épousa Catherine Allemand du Riage et en eut sept enfants : Antoinette, Claude, Jean, Étienne, Sébastien, Armand et Antoine. Par testament du 3 décembre (?) il nomma nobles ses six fils et institua l'aîné, Claude, son héritier universel.

Celui-ci épousa sa cousine, Élisabeth de Guiramand qui lui donna trois fils : Marc, Rodolphe et Eloy. Ceux-ci, en 1549 se partagèrent les biens de leur oncle Jean. Rodolphe, pour sa part, reçut la seigneurie du Plan. Devenu veuf, Claude se remaria à Simone Gastinel et il lui vint encore un fils qu'il prénomma Pierre.

Quand Claude mourut, ses biens échurent à Rodolphe, lequel épousa Delphine de Faucon au bourg d'Antrannes dans le comté de Nice. Décédé en 1587, il fut inhumé à Barcelonnette dans l'église des Dominicains.

Dix enfants lui étaient nés : Claude, Jean, Pierre, Louis, Antoine qui devint religieux minime, Jules, Étienne qui fut aumônier du roi, évêque de Digne et prieur de Ste Catherine du Val des Écoliers à Paris, Isabeau, Catherine, enfin Suzanne qui épousa Esprit de Bellon, seigneur de Ringières.

En 1595, Pierre, Louis, Jean, Antoine, Jules et Étienne, recevaient du roi des lettres de naturalité datées du 7 Décembre a Folembray. Ainsi cette génération devenait française, et il est permis de croire qu'elle s'approcha fort près de la Cour, n'en jugerait-on que par le rôle qu'y joua Étienne et par les distinctions qu'il reçut. Par ailleurs, héritier de son père Rodolphe, Jules de Capizuchi était nommé en 1596 Gouverneur de Nogent par lettres royales datées d'Amiens.

Ainsi passèrent les Capizuchi dans le pays Langrois. Il est faux que Jules ait été le premier à joindre à son nom celui de la ville de Bologne d'où venaient ses pères. Tous les Capizuchi, que nous sachions, et quelle qu'ait été leur résidence avaient fait de même. C'est plus probablement Pierre qui prit cette initiative au seizième siècle, après sa fuite, afin que l'on distinguât entre la dynastie de ses cousins romains et celle qu'il venait fonder hors de .son pays. Peu à peu, le nom de la ville finit par prévaloir, de telle sorte que les derniers Capizuchi se faisaient appeler tout uniment Bologne.

Un an après sa prise de charge Jules de Bologne épousa à Chaumont Antoinette de Magnien, fille de Jean, seigneur de Saussure, conseiller du roi, procureur au bailliage, et de Marguerite Thomassin. Le 8 octobre 1597 il y eut signature de contrat par devant les notaires Cornibert et Paintendre de la prévôté de Nogent, et ce fut Louis de Gornay, abbé du Val des Écoliers de Chaumont qui donna au couple la bénédiction nuptiale.

Gouverneur de Nogent, Jules de Bologne était encore écuyer, capitaine des chasses de Chaumont, sergent-major, capitaine au régiment de Champagne, conseiller et maître d'hôtel du roi, cette dernière charge reçue le 16 Mars 1619 à la démission de Constance de Listobri qui en était titulaire.

Jules de Bologne ne tarda pas à acheter la seigneurie de Bonnecourt à d'Anglure-Guyonvelle que les guerres civiles avaient à peu près ruiné. Mais en 1614, profitant des troubles qui marquèrent la minorité de Louis XIII, d'Anglure résolut de récupérer ce bien qu'il n'avait abandonné qu’à regret et chargea de ce soin Aurillot d'Essey, son parent. Bien que ce château de Bonnecourt n'eût à sa défense que quelques hommes d'armes, l'opération ne se fit pas sans difficultés, puisque les bélitres d'Aurillot mirent le feu aux communs et jetèrent aux flammes le fermier, sa femme et ses enfants.

Informé de l'attentat, M. de Pontis qui commandait la place de Nogent pour Jules de Bologne retenu à la Cour fit monter ses hommes à cheval en vue de châtier les rebelles. Ceux-ci délogèrent sans résistance tant l'attaque fut soudaine et vive.

Mais Aurillot ne se tint pas pour battu. Il rallia quelques autres mécontents pour faire la guerre à Pontis, qui, de son côté s’était assuré l'aide des Seigneurs fidèles à la Cour. Les hostilités trouvèrent leur épilogue à Pressigny où le lieutenant de M. de Bologne avait réussi à cerner le chef de bande. Celui-ci dut se rendre après une chaude bagarre et Pontis le conduisit sous bonne escorte à Langres, puis à Chaumont où il fut condamné à mort, enfin à Paris où il fut exécuté. M. de Pontis, dans ses Mémoires, a raconté cette affaire en tous détails.

Outre la Seigneurie de Bonnecourt, Jules de Bologne acquit celles de Poinson, de Sarrey, d'Andilly, de Poiseul, de Vesaignes et de Fresnoy.

En 1622, il passait à son fils Claude sa succession de Gouverneur de Nogent et de maître d'hôtel du roi. Ainsi prenait-il une sorte de retraite. Il semble bien s'être aussitôt éloigné d'une contrée où il ne résidait du reste que par intermittences. Le 30 Octobre 1637, il mourut au château de Saint-Ange en Gâtinais ; sa dépouille fut alors rapportée à Bonnecourt et inhumée dans le caveau de la chapelle seigneurie où reposait déjà le cœur de son père Rodolphe.

Outre son fils et successeur, il laissait une fille : Anne-Eugénie. Celle-ci, mariée dès l'âge de quatorze ans à François Le Charron de Saint-Ange, maître d'hôtel de la Reine, devint une Janséniste fervente quand elle eut perdu son mari. Entrée à Port-Royal, elle y fit profession deux ans plus tard et résista à toutes les objurgations faites on vue de la soustraire à l'hérésie. Quand elle mourut, en 1657, son corps fut cependant déposé en terre sainte mais sans aucune liturgie.

Claude, recevant toutes les charges et tous les biens de son père épousa en 1640 Jeanne de Saint-Belin, fille de Simon, Baron de Buxières et de Anne de Mailly (contrat du 6 Janvier 1640, signé Cornibert et Morand, notaires à la, prévôté de Nogent).

Quelques aventures équivoques nous montrent ce Claude tout semblable aux hobereaux turbulents, ses contemporains qui donnèrent â la loyauté tant de fil à retordre.

Après la Guerre de Trente Ans, les Comtois infestèrent longtemps la contrée Langroise, brûlant et pillant. Claude contribua d'abord à réprimer ce brigandage, s'exposant naturellement à des représailles qui ne se firent pas attendre : Le 25 Septembre 1640 les Comtois de Jonvelle incendiaient Bonnecourt. Le 16 octobre 1650, les Lorrains qui le détestaient pour des raisons analogues le surprenaient à Neuilly chez le curé Mahudel, le ramenaient à Bonnecourt et brûlaient quelques maisons sous ses yeux.

Que se passa-t-il ensuite ? Claude de Bologne, pour prix de sa sécurité se sera-t-il rallié aux ennemis du roi ? Ce qui porte à le supposer c'est que l'année suivante, alors qu'une belle occasion s'offrait à lui de châtier congrûment les Lorrains, il contribuait au contraire à faire échouer le siège d'Aigremont, leur repaire avancé. Trahison qui mit fort en colère Monseigneur de Langres Sébastien Zamet. Le prélat qui connaissait parfaitement Claude puisqu'il était le parrain d'un de ses fils ne se gêna pas pour flétrir, ex-cathedra, cette inconcevable attitude. Ajoutons que peu de temps après la milice Langroise forçait les murs de la forteresse et la démantelait.

Si malgré cela nous doutions que Claude de Bologne fût égal en turbulence aux petits hobereaux de son temps, l'examen de ses relations nous fixerait immédiatement. En Décembre 1654, arriva dans le Langrois le régiment de Turenne et des gendarmes de Mazarin, ceux-ci ayant à leur tête Pierre Mozart de Saint-Hilaire, guidon de gendarmerie. Bien qu'étant celle du roi, cette troupe se signala par des violences répétées qui entraînèrent la prévôté à brancher haut et court deux des coupables (3 Mai 1655). Sang pour sang ! Saint-Hilaire fit assassiner Jean de Sartigny, lieutenant du prévôt de Langres; après quoi il s'en vint coucher tranquillement le même soir au château de Bonnecourt chez son ami Claude de Bologne, dont un des fils, Pierre-Gaston, était le filleul du visiteur : On conviendra qu'en choisissant les parrains, de ses enfants parmi les évêques et les bélitres, le Seigneur de Bonnecourt ne manquait pas d'éclectisme dans ses relations.

Quand il mourut, le 26 mars 1682, son domaine s'était encore agrandi de la seigneurie de Thivet, achetée en 1658 et de celle de Provenchères reçue du chef de sa femme.

Photo du Château de Thivet transmise par François Houot, que je remercie, le 7/9/2013

Claude de Bologne avait eu huit enfants. Ce sont : Jules, qui fut prieur de Nogent, docteur en Sorbonne, abbé de St-Clément de Metz, chanoine archidiacre de Langres où il prononça en 1683 l'oraison funèbre de Marie-Thérèse d'Autriche.

René-Antoine, né le 23 Septembre 1643. Devenu docteur en théologie avec le titre d'abbé de St-André du Bust et archidiacre de la cathédrale, il n'en demeura pas moins à Bonnecourt, auprès de son frère Pierre-Gaston, à titre de Chapelain.
— Louis, qui fut chevalier de Malte.
— Marie, née en 1647. Elle épousa à Bonnecourt, le 6 Août 1668, Alexandre de Choiseul, chevalier, seigneur d'Ambonville et de Daillecourt, fils de Charles de Choiseul et de Marie de Billy. Décédée à Choiseul le 7 Avril 1725 à l'âge de 78 ans, elle fut inhumée le lendemain à Bonnecourt. Elle ne laissait pas de descendance.
— François.
— Anne-Gabrielle.
— Elizabeth, qui reçut le domaine d'Ecot à la mort de Basile Ignace de l'Hostel d'Ecot, son cousin (1732).
— Pierre-Gaston (1652), à qui échut l'héritage paternel. Il fut commandeur des Ordres Royaux du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem au Grand Prieuré de Languedoc, capitaine de chevau-légers du roi, commandeur de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis. C'est en raison de sa belle conduite pendant la campagne d'Alsace où il fut blessé et fait prisonnier que le roi érigea en marquisat les leurs de Bonnecourt, Thivet, Poinson et Andilly, par lettres patentes signées à Fontainebleau (1685).

C'est vers ce temps que Pierre-Gaston épousa Charlotte-Élisabeth de Broussel de la Neuville qui lui donna trois enfants.
Ce sont : Gabrielle, née le 30 Mars 1685. Elle se maria le 8 Mars 1707 à Jean-Philippe de Cardon de Vidampierre.
— Camille-Antoine, né le 25 Mai 1686.
— Jules-Armand, né le 29 Avril 1688. Il devint licencié en droit de l'Université de Paris et chanoine doyen de la cathédrale de Langres,

Quand, le 21 Juillet 1698 mourut Pierre-Gaston, Camille-Antoine lui succéda et prit le titre de marquis de Bonnecourt et de Bologne. En 1715, par son mariage avec Anne-Françoise de Cultz de Deuilly, il reçut la baronnie de Cemboing, et en 1735 il héritait de sa tante Elizabeth la splendide seigneurie d'Ecot. La même année, il vendit Provenchères.

Camille-Antoine était veuf depuis dix-huit ans quand il mourut le 5 Juillet 1745 laissant deux enfants : Charles-Camille, né le 18 Janvier 1717 et Anne-Antoinette de cinq ans plus jeune.

Charles-Camille devait être le troisième et dernier marquis de Bonnecourt. Non seulement les convulsions sociales qu'il était dans son destin de rencontrer supprimèrent ses titres et lui ôtèrent la vie mais encore il ne laissait pas d'enfant mâle. Mais deux lignées parallèles dont nous reparlerons sont issues de lui par ses filles : Charlotte-Monique et Marguerite-Françoise.

Jean Martin-Salhorgne

Famille de Panisse

DE PANISSE. — Tarascon

Source : Les maintenues de noblesse en Provence par Belleguise. Page 230.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54106328

Entre le P. G., etc., et noble Charles de Panisse, citoyen de la ville d’Avignon, résidant en la ville de Tarascon, etc.

Lettre de doctorat de noble Claude de Panisse, fils de noble Jean, vivant, seigneur de Malijay, et viguier d’Avignon, du 22 juin 1542.

Déclaration faite par M. de Montalon, garde des sceaux, contenant de la capacité et suffisance de noble Claude de Panisse pour exercer charge en cour souveraine, du 3 mars 1543.

Lettres patentes contenant provision de l’état et office de conseiller au parlement de Provence en faveur dudit noble Claude de Panisse avec les lettres d’attache et attestation du secrétaire de réception du 26 septembre 1543.

Extrait de procuration faite par ledit Claude de Panisse à me Pierre de Panisse, son frère, conseiller du Roi et président en la cour des Aides de Montpellier, du 7 juin 1544.

Extrait de mariage d’entre ledit Claude de Panisse et demoiselle Françoise de Coucils d’Agafin, du 10 septembre 1549.

Preuves faites sur la noblesse et autres qualités de noble Charles de Panisse, fils dudit sr Claude, du 25 juin 1582.

Contrepreuve sur ladite noblesse et autres qualités dudit Charles Panisse, du 28 juin audit an ; le tout originellement.

Extrait de mariage entre François de Panisse et demoiselle Catherine de Chasteauneuf, du 29 janvier 1585.

Autre Extrait de mariage entre noble Pierre de Panisse et demoiselle Pierre de Pomard, du 11 octobre 1625.

Autre Extrait de mariage entre noble Charles de Panisse et demoiselle Clère de Lafont, du 9 septembre 1660.

Fait à Aix, le 1er décembre 1667.

23 août 2010

Famille de Varadier

DE VARADIER. — Arles

Source : Les maintenues de noblesse en Provence par Belleguise. Page 228.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54106328

Armes : d'or à trois annelets d'azur, posés deux et un.

Entre le P. G., etc., et Mre Laurent de Varadier, marquis de St Andéol, nobles Gaspard, Louis et autre Gaspar de Varadier, écuyers de la ville d’Arles, etc.

Enquête faite par les mes rationaux de cette province, de l’année 1332 et le 7 novembre, dans laquelle Jacques de Varadier, sr d’Entrevennes, du Castellas et Valbonnette, est qualifié noble.

Extrait d’acte, du 1er octobre 1340, par lequel il apert que Jean de Varadier était fils de noble Thomas, héritier de François, son oncle, frère dudit Thomas, et iceux dudit noble Jacques.

Acte de rémission faite par ledit Thomas, de ses biens, audit Jean, son fils, du 12 août 1376, notaire Briandy.

Acte par lequel Marie de Blois, mère du Roi Louis II, fît donation en faveur dudit Jean de Varadier, de la juridiction de Gaubert et autres droits sur diverses places, du 30 octobre 1385, notaire Mermet (?).

Extrait de transaction, du 13 novembre 1443, par laquelle apert que nobles Louis et Taxil de Varadier, étaient fils dudit Jean et que ledit noble Louis presta hommage des seigneuries y mentionnées.

Testament dudit noble Taxil, fils dudit jean et frère de Louis par lequel fît héritier et donataire noble Pierre de Varadier, fils dudit Louis, son neveu, du 25 juillet 1439.

Acte d’immission de possession faite par ledit noble Pierre, sur les seigneuries de Corbons et des Sièyés, du 26 novembre 1451.

Testament de la demoiselle Mabile Aube, femme dudit noble Pierre de Varadier, par lequel apert que Bertrand et Louis étaient ses enfants et dudit noble Pierre, du 1er août 1486.

Mariage dudit noble Bertrand de Varadier, fils dudit Pierre, avec demoiselle Jeanne de Tropin, du 28 août 1478.

Sentence par laquelle ledit noble Louis de Varadier, frère dudit Bertrand, fut pourvu de tuteurs aux enfants hoirs dudit Bertrand, du 20 octobre 1488.

Deux reconnaissances passées en faveur desdits nobles Louis et Bertrand de Varadier, frères, du 9 juin 1489.

Donation faite par Estienne de Varadier, de tous ses biens, en faveur de Hierosme, son frère, du 5 janvier 1517, signé Camaret.

Mariage dudit noble Hierosme de Varadier, avec demoiselle Catherine de la Tour, du 12 mai 1516.

Testament dudit Hierosme, du 12 juin 1537.

Extrait d’hommage presté au Roi par ledit Hierosme de Varadier, pour raison de la terre de St Andiol, du 6 septembre 1535.

Certifications de l’année 1535, du greffier de ladite ville d’Arles que, en ladite année, ledit noble Hierosme de Varadier avait été premier consul dudit Arles.

Jugement rendu par le présidial de Lyon, par lequel apert que Gabriel un des enfants dudit Hierosme, était seigneur de St Andiol et chevalier de l’ordre du roi, du 27 août 1569.

Lettres de commission du comte de Tende, gouverneur en cette province, en faveur dudit noble Gabriel, de commander en qualité de gouverneur en ladite ville d’Arles, sénéchaussée et son ressort, avec pouvoir de mener avec soi dix hommes armés.

Mariage dudit noble Gabriel de Varadier avec demoiselle Louise Aube de Roquemartine, du 6 janvier 1546.

Mariage de noble Pierre de Varadier, fils dudit noble Gabriel, avec demoiselle Clère de Pontevès, du 9 juin 1577.

Mariage, en secondes noces, dudit Gabriel avec demoiselle Marguerite de Pontevès.

Hommage par lui presté au Roi de ladite terre de St Andiol, du 28 mai 1537.

Mariage de noble Gaspar de Varadier, second fils dudit noble Hierosme, avec demoiselle Jeanne de Renaud, du 27 janvier 1557.

Testament dudit noble Gaspar, portant institution d’héritier en faveur de Laurent, son fils aîné, et substitution de ses autres enfants, du 29 novembre 1575.

Preuves faites sur la réception de noble Bertrand de Varadier, pour chevalier en la religion de Malte, du 24 octobre 1548.

Mariage dudit noble Laurent de Varadier, fils dudit noble Gaspar, avec demoiselle Lucresse de Forbin, du 10 janvier 1593.

Mariage de noble Nicolas de Varadier, seigneur dudit St Andiol, fils dudit noble Laurent, avec demoiselle Lucresse de Grille Robiac, du 10 mai 1620.

Lettres et commission, données en faveur de noble Jacques de Varadier, de lieutenant colonel du duc de Mercœur, et de commander une compagnie de chevaux légers.

Preuves faites de la noblesse de Nicolas de Varadier, second fils dudit noble Nicolas premier, sur la réception de chevalier audit ordre de Malte, du 14 mars 1646.

Mariage de noble Laurent de Varadier, marquis de St Andiol, fils dudit noble Nicolas premier, l’un desdites défendeurs, avec demoiselle Marguerite de Grignan, du 6 juin 1661.

Mariage de noble Pierre de Varadier, fils dudit Hierosme de Varadier et de ladite demoiselle de la Tour, avec demoiselle Françoise de Reynaud, du 16 janvier 1569

Mariage de noble Gabriel de Varadier, fils dudit noble Pierre, avec demoiselle Pierrette d’Aiguières, du 13 septembre 1591.

Livre intitulé les États généraux tenus en France, et au f° 33 apert de la députation auxdits États de la personne dudit noble Gabriel de Varadier, comme premier consul de l’état des nobles, de l’année 1614.

Extrait de mariage de noble Louis de Varadier, fils dudit noble Gabriel, avec demoiselle Marguerite de Seytres de Caumont, du 10 janvier 1631.

Preuves de chevalier audit ordre de Malte de la personne de Claude de Varadier, du 27 avril 1659.

Baptistère dudit noble Gaspar de Varadier, du 29 juin 1599.

Mariage dudit noble Gaspar, avec demoiselle Agnès de Verdier, du 26 février 1656.

Fait à Aix, le 1er décembre 1667.

22 août 2010

Famille d'Emeric de Grasse

D'EMERIC. — Grasse

Source : Les maintenues de noblesse en Provence par Belleguise. Page 227.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54106328

Entre le P. G., etc., et noble Jean d'Emeric, sieur de Sartoux et de Salegriffon, etc.

Extrait de mariage entre noble capitaine Honoré d'Emeric, fils à feu capitaine George, gouverneur du fort et château de Sigale en Savoie, et demoiselle Andrivette de Ris, du 22 janvier 1549, reçu par me Dalmassy, notaire du lieu de Sigale.

Copie de prestation de serment de fidélité fait par ledit Honoré d'Emeric, en qualité de capitaine dans les armées de S. A. de Savoie, son prince, entre les mains du sr Annibal de Grimaldy, comte de Bueil, gouverneur de Nice, du 4 mars 1570.

Écrits en italien ensemble le susdit Extrait du testament dudit noble Honoré d'Emeric, du 24 mai 1570, par lequel il institue son héritier noble Jean d'Emeric, son fils, reçu par me Dalmassy, notaire de Sigale, aussi en italien.

Extrait de mariage entre noble Jean d'Emeric, fils dudit Honoré, et demoiselle de Berton, du 6 février 1575, reçu par me Gabriel Thonety, notaire, aussi en italien.

Extrait de testament dudit noble Jean d'Emeric, du 30 septembre 1607, reçu par ledit me Thonelli, notaire de Sigalle, où il institue son héritier George d'Emeric, son fils, en italien.

Extrait de mariage entre noble Georges d'Émeric, fils dudit Jean, et demoiselle Marie de Dolle, de la ville de Grasse, du 8 mai 1606, reçu par me Bernard, notaire de Grasse.

Extrait d'acte d'achept de la terre, place, seigneurie de Sartoux fait par ledit noble George d'Emeric, d'Honoré Simousse, du 15 février 1608, reçu par me Bérard, de Grasse, notaire.

Autre Extrait d'achept de la place et seigneurie de Salegriffon, fait par ledit George d'Emeric, et demoiselle Clère de Grasse, dame dudit Salegriffon, du 14 mai 1627, reçu par me Guérin, notaire dudit Grasse.

Extrait de mariage entre Jean d'Emeric, écuyer de la ville de Grasse, sr de Sartoux, fils dudit George et demoiselle Marie de Dolle, et demoiselle Jeanne de Villeneuve, du 4 mars 1628, reçu par me Guérin, notaire de Grasse.

Procédure faite devant le préfet de Nice, contenant que Honoré, Jean et George d'Emeric sont toujours été nobles, tels réputés et qualifiés, du 10 avril 1643.

Extrait de jugement rendu par les srs commissaires établis par S. M. en la chambre des francs fiefs, entre me Nicolas Petit, commis à la recepte desdits droits, et le procureur général du roi, et nobles jean et Christophle d'Emeric, frères, sieurs de Sartoux et Salegriffon, portant déchargement dudit droit en faveur desdits d'Emeric, attendu leurs qualités, du 19 juillet 1657.

Extrait de mariage de noble Georges d'Emeric, sr d'Aiglun, fils d'Antoine, et demoiselle Jeannette de Lascaris, du 27 mars 1588, reçu par me Dalmassy, notaire de Sigalle, dument attesté, écrit en italien.

Fait à Aix, le 29 novembre 1667.

20 août 2010

Famille de Roux de Forcalquier

DE ROUX. — Forcalquier

Armes : d'argent, à l'ours passant de sable, surmonté de deux étoiles rangées de gueules

Source : Les maintenues de noblesse en Provence par Belleguise. Page 223.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54106328

Entre le P. G., etc., et Antoine-René de Roux, sr de la Rochette, résidant à Forcalquier, etc.

Extrait collationné de la procédure faite de l'autorité de la chambre des Comptes du Dauphiné, pour la vente des biens de Pierre d'Ambel, au profit de noble Jacques de St Germain, par noble Jean de Roux, châtelain de Corps et Champsault, du 17 octobre 1385.

Acte de vente d'une propriété mouvante de la directe de noble Jean de Roux, du 20 janvier 1386.

Autres Extraits collationnés de révision des feux de ladite province du Dauphiné, des années 1447, 1460 et 1474, dans lesquels les héritiers de noble Jean de Roux y sont couchés, savoir : noble Jean de Roux, châtelain, et noble Claude de Roux, et mis au rang des nobles du lieu de Corps.

Contrat d'une Donation faite a noble Jean de Roux, d'un juspatronat d'une chapelle, ou il est qualifié fils d'autre noble Jean, du 17 mai 1444.

Testament de noble Catherine Ruffe, veuve de noble Siméon de Roux de Corps, par lequel elle fait légataire noble Claude de Roux, son frère, et institue son héritier noble Jean de Roux, fils de noble Jean, son neveu, du 15 juillet 1508, reçu par me Bernardy, notaire.

Testament de noble Claude de Roux, du lieu de Corps, par lequel il fait légataires noble Catherine Artaud et Marie de Roux, ses sœurs, et les substitue à noble Michel, son frère, qu'il institue son héritier du dernier ??? 1512, dument collationné.

Contrat de rémission, ensuite faite par ledit noble Michel de Roux, de l'héritage de feu noble Claude, son frère, en faveur de noble Jean, son neveu, qualifié châtelain de Corps, du 2 février 1517, reçu par me Trouchet, notaire.

Mariage dudit noble Jean de Roux, fils d'autre noble Jean, avec demoiselle Jeannone de Bonne, du 10 mars 1505.

Lettres de confirmation de la charge de capitaine châtelain de la ville, châtellenie et mandement de Corps ez montagnes du Dauphiné, en faveur de Jean de Roux, du 20 février 1614.

Transaction entre nobles Charles, Louis et Jean de Roux, frères, fils de feu noble Jean, pour raison de la succession des biens dudit noble Jean de Roux, leur père, du 7 octobre 1518, dans laquelle transaction est parlé de la Donation faite par noble Jean de Roux à Jean, son fils, en son Contrat de mariage avec la demoiselle Jeanonne de Bonne, signé Troulhet, notaire.

Contrat de vente faite par noble Jean de St Germain, coseigneur des lieux de Jarjaye et du Valgaudemar, à noble Jean de Roux, châtelain de Corps, de la terre, seigneurie, juridiction haute, moyenne et basse du district et terroir des lieux de Praux et autres y mentionnés, du 19 janvier 1519, dument collationné.

Hommage en suite presté au Roi par ledit noble Jean de Roux pour raison de la susdite acquisition, du 7 mars 1520.

Testament de noble Jean de Roux, châtelain de Corps, par lequel il fait légataires la demoiselle de Bonne, sa femme, Esperit et Honoré, ses enfants, et institue Antoine, du 15 décembre 1522, reçu par me Trouchet.

Transaction portant partage entre nobles Charles et Louis de Roux, frères, fils et héritiers de feu Jean, du 4 juillet 1520, reçu par me Trouchet, notaire.

Commission portant contrainte du lieutenant du Roi de la province contre ceux qui n'avaient pas été à la convocation de l'arrière ban, dans laquelle apert que Louis de Roux était brigadier pour la conduite de la noblesse, du 27 mai 1511, dument collationné.

De la monstre des nobles de Corps et chefs nommés pour servir le Roi en l'arrière ban du Dauphiné, faite à Grenoble le 14 avril 1512, dans laquelle nobles Louis et Jean de Roux y sont dénommés et mis au rang des nobles du lieu de Corps.

Contrat de mariage de noble Louis de Roux, dudit lieu de Corps, avec demoiselle Marguerite de Chabestan, du 2 décembre 1519, reçu par me Brunelly, notaire.

Testament dudit noble Louis, par lequel il fait légat à nobles Pierre et Louis, ses enfants, et fait héritier noble Jean, son autre enfant, du 20 juin 1528 reçu par me Trouchet, notaire.

Compromis passé entre les héritiers de noble Jean de Roux, seigneur de Praux, châtelain de Corps, et les héritiers de feu noble Louis Roux, du 28 janvier 1530.

Mariage de noble Louis second, dit de Lislon, écuyer, avec demoiselle Charlotte de Montauban, du 4 août 1554, reçu par me Bernard, notaire de Grenoble.

Achept fait par noble Louis de Roux, sr du Pillon, de la cosgrie que le prieur de Sigottier avait audit lieu, du 4 janvier 1564, reçu par me Vacher notaire.

Transaction passée entre demoiselle Charlotte de Montauban, veuve à feu noble Louis de Roux, sr du Pillon, et noble Jean de Roux, son fils, du 10 octobre 1579, signé : Istier, notaire.

Autre transaction du 9 mai 1578 passée entre noble Pompée de Castellane avec Jean de Roux sr du Pillon, tant en son nom que de nobles Antoine et Henry de Roux, ses frères, par laquelle apert que lesdits de Roux sont enfants de noble Louis et de ladite demoiselle Charlotte de Montauban, signé: Lieutaud, notaire.

Donation faite par noble Henry de Roux, seigneur de Vaumenc et en partie de Sigottier, à noble Antoine de Roux, son frère, sieur de Forests et Sigottier, du 16 septembre 1598, signé Almeras, notaire de Serre.

Commission de M. de la Vallete au sr de Forests d'une compagnie de 100 hommes de pied, du 12 février 1590.

Attestation du duc de Lesdiguières, comme le sr de la Forest a servi le Roi durant deux mois, à ses dépens, et obtenu ensuite son congé et passeport, du 25 novembre 1600.

Copie de Contrat de mariage de noble Antoine de Roux, sr des Forests et coseigneur de Sigottier, avec demoiselle Marie de Lespine, et de l'avis de noble Henry de Roux, aussi coseigneur dudit Sigottier, son frère, du 24 décembre 1606.

Acquisition, hommage, investiture et liquidation du droit de lods de la terre de la Rochette, avec quittance dudit droit en faveur de noble Antoine de Roux, sr de Forest, coseigneur de Sigottier, des 19 et 26 janvier 1619.

Testament dudit noble Antoine de Roux de Montauban, sr de Forest, Sigottier, la Rochette et autres places, par lequel il institue son héritier, noble Antoine-René de Roux, son fils, du 28 août 1630.

Lettres missives envoyées par le sr comte de Suze au sr de la Rochette, pour la convocation du rière ban au siège de Cazal, de l'année 1630.

Copie du mariage de noble Antoine-René de Roux de Montauban, sr de la Rochette, fils de Mre Antoine, sr de Forests, avec demoiselle Honorée d'Eyroux, du 10 octobre 1633.

Attestation de M. le vibaillif de Gap, du service rendu par ledit noble Antoine-René de Roux, sr de la Rochette, en l'arrière ban, du 26 juillet 1640

Procédure faite de l'autorité des intendants du Dauphiné pour collationner les actes, partie appelée, avec l'assignation donnée par devant les commissaires pour le fait du cadastre et payement des tailles, à la requête des consuls de la Rochette, des 1er janvier et 13 août 1641.

Requête en suite présentée par ledit noble Antoine-René de Roux, assigné, portant d'être enjoint au procureur desdites consuls de la Rochette, de donner ses défenses et contredits à sa production.

Copie de la procuration faite par les consuls dudit la Rochette à Jean Ayme, portant déclaration et consentement que ledit sieur de la Rochette soit déclaré ancien noble et exempt des tailles, du dernier mars 1642.

Substitution de procuration faite par ledit Ayme à son procureur, du 11 avril audit an.

Copie des écritures données de la part des consuls dudit la Rochette, par lesquelles la déclaration, dont mention est faite en la procuration, est exprimée.

Jugement en suite rendu par le sr de Serre, commissaire et juge souverain député par S. M. pour l'exécution de l'Arrêt par elle rendu entre les nobles de la province du Dauphiné, le 24 octobre 1639, en suite de la susdit assignation donnée audit sr de la Rochette, en représentation de ses titres de noblesse, par lequel il est déclaré ancien noble et exempt de toutes tailles et impositions roturières à perpétuité, du 14 avril 1642, dument collationné par Drevet, greffier, et scellé du cachet et armes dudit seigneur commissaire.

Fait à Aix, le 29 novembre 1667.

07 août 2010

Dernières recherches dans l'Aisne

Ce qui suit est le résultat de mes recherches récentes sur le site des archives départementales de l'Aisne où j'ai beaucoup d'ancêtres.

Chronique de la descendance de Pierre ALAVOINE

Première génération

1. Pierre ALAVOINE. Pierre a épousé1 Marie DELAMOTTE le 22 septembre 1728 à Fayet, Aisne, France. Ils ont eu les enfants suivants :

+ 2 M i. Pierre François ALAVOINE.

Deuxième génération

2. Pierre François ALAVOINE (Pierre). Pierre a épousé2 Marie Marguerite DENIZART, fille de Pierre DENIZART et Marguerite MASSON, le 19 novembre 1765 à Pontru, Aisne, France. Ils ont eu les enfants suivants :

3 F i. Marie Anne Angélique ALAVOINE est née le 28 novembre 1767 à Pontru, Aisne, France. Elle est décédée le 24 janvier 1768 à Pontru, Aisne, France. S : 134/206

4 M ii. Pierre François ALAVOINE est né le 2 mars 1769 à Pontru, Aisne, France. Il est décédé le 5 mars 1769 à Pontru, Aisne, France. N : 137/206 S : 140/206

5 M iii. Louis François ALAVOINE est né le 8 janvier 1770 à Pontru, Aisne, France. Il est décédé le 9 janvier 1770 à Pontru, Aisne, France. 142/206

+ 6 M iv. Louis Joseph ALAVOINE est né le 12 octobre 1771.

7 M v. Jean-François Noël ALAVOINE est né3 le 20 décembre 1780 à Pontru, Aisne, France. N: 152/206. Jean-François a épousé4 Marie Louise Adélaïde WATIGNY le 10 janvier 1816 à Pontru, Aisne, France.

8 F vi. Marie Catherine Josèphe ALAVOINE est née le 27 mai 1776 à Pontru, Aisne, France. Elle est décédée le 3 septembre 1776 à Pontru, Aisne, France. N: 176/206 S: 181/206

9 M vii. Jean-Baptiste ALAVOINE est né le 19 août 1777 à Pontru, Aisne, France. Il est décédé le 2 septembre 1777 à Pontru, Aisne, France. N: 184/206 S: 187/206

10 M viii. Jean-François ALAVOINE est né le 31 janvier 1779 à Pontru, Aisne, France. Il est décédé le 15 janvier 1780 à Pontru, Aisne, France. N: 194/206 S: 204/206

Troisième génération

6. Louis Joseph ALAVOINE (Pierre François, Pierre) est né le 12 octobre 1771 à Pontru, Aisne, France. Louis a épousé Marie Barbe DENISARD. Ils ont eu les enfants suivants :

+ 11 F i. Marie ALAVOINE est née le 1 mars 1791, et est décédée le 30 décembre 1829.

Quatrième génération

11. Marie ALAVOINE (Louis Joseph, Pierre François, Pierre) est née le 1 mars 1791 à Pontru, Aisne, France, et a été baptisée le 1 mars 1791 à Pontru, Aisne, France. Elle est décédée le 30 décembre 1829 à Pontru, Aisne, France. Parrain : Jean-François Noël ALAVOINE, oncle, Marraine : Marie Anne Marguerite CHOCQUART, cousine. Marie a épousé Simon MONDOT, fils de Pierre François MONDO et Marie Anne Rosalie CROCHART, le 13 janvier 1813 à Pontru, Aisne, France. Simon est né le 30 octobre 1792 à Pontru, Aisne, France.

Appendice A - Sources

1. Geneabank 02.

2. Geneabank 02.

3. Geneabank 02.

4. Geneabank 02.

Chronique de la descendance de Nicolas ROUSSEAUX

Première génération

1. Nicolas ROUSSEAUX est né environ 1671. Il est décédé1 le 25 avril 1741 à Savy, Aisne, France, en présence de Jean et Antoine ROUSSEAUX ses fils, blattiers. Nicolas et son conjoint ont eu les enfants suivants:

+ 2 M i. Jean ROUSSEAUX.

Deuxième génération

2. Jean ROUSSEAUX (Nicolas). Jean a épousé Marguerite POETE, fille de Anthoine POETE et Jeanne PENNIER. Marguerite est née2 le 14 mars 1691 à Savy, Aisne, France. Elle est décédée3 le 21 septembre 1737 à Savy, Aisne, France, en présence de Jean et Charles POETE frères et de son mari. C'est la seule Marguerite Poete qui naisse avec une date compatible avec son âge à son décès et qui ai aussi un frère Jean et un frère Charles. Jean et Marguerite ont eu les enfants suivants:

+ 3 M i. Jean Louis ROUSSEAUX est né environ 1723, et est décédé avant 1792.

4 M ii. Claude ROUSSEAUX est né le 12 mars 1736 à Savy, Aisne, France. Il est décédé4 le 27 juin 1736 à Savy, Aisne, France.

Troisième génération

3. Jean Louis ROUSSEAUX (Jean, Nicolas) est né environ 1723. Il est décédé avant 1792. Jean a épousé5 (1) Catherine DANCRE, fille de Quentin DANCRE et Marie Anne MORANT, le 23 septembre 1749 à Savy, Aisne, France. Jean a également épousé (2) Marie Françoise LEFEBVRE, fille de Jean LEFEBVRE et Marie Anne POETE, le 19 septembre 1752 à Savy, Aisne, France. Marie est décédée avant 1792. Ils ont eu les enfants suivants :

+ 5 F i. Marie Thérèse ROUSSEAUX est née environ 1756.

6 F ii. Marie Catherine ROUSSEAU. Marie a épousé6 Pierre Antoine Zacharie BETHFORD, fils de Gabriel BETHFORD et Marie Barbe ROUSSEAU, le 21 juillet 1788 à Savy, Aisne, France.

7 M iii. Martin Etienne ROUSSEAU. Martin a épousé7 Marie Barbe Constance ANSSELET, fille de Jean Louis ANSSELET et Marie Barbe PAYEN, le 29 janvier 1788 à Savy, Aisne, France.

8 M iv. Pierre Louis ROUSSEAU. Pierre a épousé8 Marie Barbe PANNIER, fille de Jean PANNIER et Marie Barbe BILLARD, le 27 novembre 1787 à Savy, Aisne, France.

Quatrième génération

5. Marie Thérèse ROUSSEAUX (Jean Louis, Jean, Nicolas) est née environ 1756. Marie a épousé Joseph TATTÉ, fils de Joseph TATTÉ et Agnès LELONG, le 20 novembre 1792 à Contescourt, Aisne, France. Joseph est né environ 1749.

Appendice A - Sources

1. Geneabank 02.

2. Geneabank 02.

3. Geneabank 02.

4. Geneabank 02.

5. Geneabank 02.

6. Geneabank 02.

7. Geneabank 02.

8. Geneabank 02.