09 août 2005

D'AGOUT ou D'AGOULT, en Provence et en Dauphiné.

Nobiliaire Universel de France, Tome 16
par M. de SAINT-ALLAIS
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/document?O=N0036877
pages 70 à 80
Dessin de Jean-François Binon publié avec l'aimable autorisation de HeraldiqueGenWeb

Mémoire généalogique de la maison d'Agout, en Provence et en Dauphiné, qui porte pour armes : d'or, à un loup ravissant d'azur, armé et lampassé de gueules.

On trouve à la bibliothèque du Roi, dans le cabinet des titres et généalogies, provenant du cabinet de l'ordre du Saint-Esprit, le mémoire et le certificat suivants, dressés , le 28 mars 1781 , par M. Chérin, généalogiste des ordres.

Les auteurs qui ont traité l'histoire de cette maison lui ont donné le premier rang entre celles de Provence. Effectivement sa haute ancienneté, la quantité de ses branches, le nombre et l'étendue de ses possessions, ses services, ses places et ses alliances ne laissent point de comparaison entre elle et aucune autre de cette province. On n'entre point ici dans la discussion des divers systèmes formés sur son origine, dont le plus probable est celui qui la rapporte aux seigneurs d'Apt, en Provence, qui souvent s'en qualifiaient princes ; on se borne aux faits ou probables ou clairement prouvés.

La maison d'Agout a pris son nom d'une terre située dans la viguerie d'Apt; elle avait pour chef vers la fin du onzième siècle : Rostaing d'AGOUT, co-seigneur de la ville d'Apt, seigneur d'Agout, de Gordes, etc. Il eut, entre autres enfants, Raimbaud, qui suit, et Léger, évêque d'Apt, en 1113 et années suivantes.

Raimbaud d'AGOUT, co-seigneur d'Apt, seigneur d'Agout, etc., est nommé dans les chartes de l'église d'Apt des années 1113 et 1120 ; il eut de Sancie (que la plupart des auteurs cités ci-dessus disent dame de Simiane au diocèse d'Apt) deux fils, tous deux chefs d'une nombreuse postérité ; le premier, nommé Guiran, prit le nom de Simiane, et forma la branche de ce nom, partagée en onze branches ou rameaux, dont plusieurs existent aujourd'hui, et ont donné un évêque, duc de Langres, pair de France, vingt-deux chevaliers de l'ordre de Malte, deux chanoines-comtes de Lyon, une chanoinesse du chapitre de Remiremont, une abbesse et une chanoinesse de celui de Bouxières, trois chevaliers de l'ordre du Saint-Esprit, quatre de celui de l'Annonciade en Savoie, un grand sénéchal de Provence, plusieurs lieutenants-généraux d'armées, un grand nombre de militaires de grades inférieurs, et ont formé des alliances avec les maisons d'Adhémar, d'Ancezune, d'Anduse, d'Arpajon, de Baux-Orange, de Bérenger, de Castellane, de Châteauneuf-Randon, de Clermont-Montoison, de Forcalquier, de Grimaldi-Monaco, de Ligniville, de Sabran, de la Tour de Bouillon, de Villeneuve-Vence et de Vintimille ; le second fils de Raimbaud d'Agout et de Sancie fut :

Bertrand d'AGOUT, seigneur d'Agout, co-seigneur d'Apt, de Gordes, etc. Il vivait en 1120. Il est très vraisemblable qu'il fut père de Raimond, qui suit, depuis lequel la filiation est clairement prouvée.

Raimond d'AGOUT, 1er du nom, chevalier, seigneur d'Agout et de la vallée de Sault, possédait en franc-alleu cette dernière terre, la plus ancienne, et la plus belle de Provence. Il fut témoin de la donation du comté de Melgueil, faite en 1172 par la comtesse Béatrix, à Raimond V, comte de Toulouse ; fut l'un des seigneurs provençaux qui se trouvèrent à une cour plénière que ce comte tint à Beaucaire en 1174. Un auteur du tems remarque que ce prince lui fit présent d'une somme de cent mille sous, et que comme il était fort libéral, il la distribua à environ dix mille chevaliers qui étaient venus à cette cour ; assista à deux traités faits en 1176 et 1185, entre le même comte et Alphonse II, roi d'Aragon et comte de Provence ; il est qualifié dans ce dernier, juge du palais, probablement du comté de Toulouse ; fut l'un des seize barons du même comté qui firent serment d'obéissance au légat du pape en 1109. Sa femme fut Isoarde.

Les auteurs cités ci-devant la disent fille d'Isoard, comte de Die, ce qui est d'autant plus probable, qu'ils firent conjointement avec ce comte une donation aux Templiers de Luc : ils eurent trois fils, nommés Isnard, Raymond et Bertrand.

Isnard d'AGOUT, surnommé aussi d'Entravennes, fut seigneur de la vallée de Sault, etc. On a peu de titres sur ses descendants ; mais, suivant les auteurs qu'on a déjà cités, il fut père d'un autre Isnard, seigneur de la même terre ; lequel eut de Douceline, dame de Pontevès, en Provence, trois fils ; savoir,
  1. Isnard, seigneur d'Agout, de Sault, etc., qui fut grand sénéchal de Provence, en 1287. (C'était la première charge de ce pays ; elle réunissait les fonctions de connétable à celles de chef de la justice). Sa postérité s'est partagée en deux branches connues ; la première sous la dénomination de seigneurs, puis barons de Sault, vicomtes de Reillane, en Provence, comtes de Geraci, en Sicile, de Nole et de Crotone, au royaume de Naples ; laquelle a donné quatre autres grands sénéchaux de Provence, un amiral des mers du Levant, un grand camerlingue du même royaume de Naples, a formé des alliances avec les maisons de Baux et d'Espagne-Luna, et s'est éteinte au commencement du quinzième siècle ; la seconde, sous le titre de seigneurs de Barret, etc. , devenus barons de Sault , de la Tour d'Aigues, etc., éteinte au commencement du seizième siècle dans la maison de Montauban en Dauphiné, qui en a pris le nom et les armes, après avoir formé des alliances avec celles d'Adhémar, de Beauveau, de Brancas, de Castellane, de Forcalquier, de Glandevès, de Sabran de Tournon et de Vintirnille ; c'est de cette branche qu'était Fouquet d'Agout, baron de Sault, qui fit donation, en 1489, de plusieurs terres, à la charge de porter son nom et ses armes, avec quelque différence à Fouquet Vincent, seigneur de Rougnes, son filleul, tige des seigneurs de Rougnes et de Saint-Michel, dont le chef actuel est M. le marquis d'Agout, aide-major au régiment des Gardes-Françaises , frère aîné de M. le chevalier d'Agout , chevalier de Saint-Lazare et major de cour ;
  2. Fouquet d'Agout , seigneur de Pontevès, dont il prit le nom, et devint tige de la maison de Pontevès, partagée en un grand nombre de branches dont plusieurs existent aujourd'hui, et dont la plus considérable est celle des comtes de Carces , éteinte , en 1656, après avoir donné trois grands sénéchaux de Provence, le premier desquels fut Jean, comte de Carces, célèbre par ses exploits dans les guerres de la ligue nommé chevalier de l'ordre du Saint-Esprit à son institution ;
  3. Raymond, seigneur de Prets, de Forcalqueiret et en partie d'Agout, etc. , auteur d'une branche éteinte au quatorzième siècle, après avoir pris des alliances avec celles d'Anduze, de Montlaur, de Sabran et de Villeneuve-Vence.

Raymond, second fils de Raymond, seigneur d'Agout et de Sault, va suivre.

Bertrand, le troisième, forma une branche connue sous la dénomination de seigneurs de Curban, de Monestier, de Claret, etc., qui a donné un grand sénéchal de Provence, et s'est éteinte à la fin du quinzième siècle.

Raymond d'AGOUT, IIe du nom, chevalier, qualifié noble et puissant homme, titre donné à un grand nombre de ses descendants, fut seigneur de Luc, de Savournon, etc., en Dauphiné, et est la tige des branches de sa maison établie dans cette province ; il confirma, par acte du 12 décembre 1220, une donation que ses père et mère et Isoard, comte de Die, avaient faite aux Templiers de Luc, et le scella de son sceau représentant d'un côté un chevalier armé, ayant l'épée haute, et de l'autre un loup passant ; fit la guerre au dauphin Guignes VII, avec Raymond de Meuillon, vers l'année 1252, exempta, en 1267, ses vassaux de Savournon de tous droits, excepté de l'assistance en plaids et en guerres et de la taille aux quatre cas, c'est-à-dire au cas qu'il fit le voyage de la Terre-Sainte, qu'il acquit une terre, et pour la chevalerie du premier de ses fils, et le mariage de ses filles ; et mourut peu après père de deux fils, qui furent Raymond d'Agout, seigneur de Luc, etc., vivant en 1320 dont le sort est ignoré, et Isnard d'AGOUT, Ier du nom, surnommé aussi d'Entravennes, co-seigneur de la Bastide, de Maison Savournon, Monlaur, Rochebriane, Lesches, Baurières, etc., lequel rendit hommage, avec son frère, des deux premières terres à l'évêque de Die, en 1268 ; fut du nombre des seigneurs de Dauphiné qui scellèrent de leur sceau, en 1292, la confirmation faite par la dauphine de la cession de ses états à Jean, son fils ; affranchit la même année ses habitants de Baurières, sous la réserve de la taille aux quatre cas et du service dans les guerres particulières ; il mourut, après l'année 1302, laissant entre autres enfants, Bertrand II, qui suit, et Mabile, femme de Guillaume Artaud, chevalier, seigneur de Glandages.

Bertrand d'AGOUT, dit de Mison, seigneur de Pontmaravel, Baurières, Lesches, de la vallée de Tauranne, etc., ratifia, en 1292, l'affranchissement accordé par son père aux habitants de Baurières, et fut maintenu, en 1307, dans l'exercice de la justice de Baurières ; c'est à lui que la filiation est remontée par les titres que Charles d'Agout, l'un de ses descendants, produisit, en 1667, devant M. du Gué, intendant de Dauphiné. Il eut pour fils:

Raimond d'AGOUT, IIIe du nom, qui paraît être mort avant lui, après l'année 1334, laissant entre autres enfants, Geoffroy Ier, qui suit, et Isoarde, femme de Guichard de Loras, chevalier.

Geoffroy d'AGOUT, Ier du nom, damoiseau, seigneur de Pontmaravel, Baurières, etc., fut émancipé par son aïeul, le 17 avril 1334 ; épousa, par contrat du même jour, Sibile, fille de Jean Aynard, seigneur de Chalençon, devint seigneur de la terre de la Beaume-des-Arnauds, en Dauphiné, par la donation que lui en fit Mabile, sa grande tante, et en fit hommage au dauphin Humbert II, en 1339. Il était mort, le 4 août 1354 père de deux fils, qui furent :

  1. Bertrand, seigneur de Baurières, de la vallée de Taurenne, etc., qui mourut, avant 1415, et eut de Marguerite Flotte, fille d'Ozaseiche, seigneur de la Roche-Arnaud, Raymond, seigneur de Baurières, mort sans enfants de Marie de Beauvau, qu'il avait épousée en 1426 ;
  2. Isnard d'Agout, qui suit :

Isnard d'AGOUT, damoiseau, seigneur de la Baume-des-Arnauds, et en partie de Valdronne, etc. ; qualifié magnifique et puissant homme, lequel mourut avant le 29 août 1385. Il eut de Marguerite de Marseille :

  1. Amiel ou Amédée, seigneur de la Baume-des-Arnauds, qui, de Félize de Montorcier, laissa un fils nommé Antoine, co-seigneur de la même terre, mort sans postérité mâle
  2. Geoffroy d'Agout, qui suit :

Geoffroy d'AGOUT, IIe du nom, damoiseau, coseigneur de la Baume-des-Arnauds, lequel épousa, en 1408, Dragonnette de Véteris, fille d'Antoine, damoiseau, seigneur en partie de Veynes, et en eut Antoine, qui suit :

Antoine, surnommé d'AGOUT dans cinq actes, et d'Atgout aliàs Martel (apparemment pour le distinguer d'Antoine, son cousin germain) dans un autre, de 1436, dans lequel son père stipule avec lui, est qualifié damoiseau et co-seigneur de la Baume-des-Arnauds, fut reconnu noble dans une révision de feux de l'année 1474, et laissa de Louise Rimbert :

François d'AGOUT, Ier du nom, écuyer, seigneur de la Baume-des-Arnauds, qui épousa, en 1491 , Jacquette de Revillasc, fille de Jacques, seigneur en partie de Revillasc ; elle le rendit père entr'autres enfants, de Giraud, qui suit, et de Barthélemi, auteur d'une branche partagée en deux rameaux, tous deux existants et connus ; le premier sous le titre de comtes de Chanousse, alliée aux maisons de Brancas-Céreste, et de Virieu-Pupetières ; et le second, sous celui de marquis d'Upays.

Giraud d'AGOUT, co-seigneur de la Baume-des-Arnauds, et de la Beaume d'Argenson, puis de Bonneval et de Piégon en partie, par son mariage de l'année 1540, avec Jeanne d'Autanne, fille et héritière, ou du moins en partie, de Louis, seigneur desdites terres ; elle le rendit père de :

Louis d'AGOUT, seigneur de Bonneval et, en partie, de Piégon, etc., qui épousa, en 1582, Judith Marcel fille de Pierre Marcel, écuyer ; de ce mariage vint entr'autres enfants :

Charles d'AGOUT, seigneur de Bonneval, Piégon, Merindol, Miallons, etc., lequel fut maintenu dans sa noblesse avec plusieurs de ses parents, par jugement de M. du Gué, intendant de Dauphin, rendu le 21 juillet 1667, sur titres qui la prouvaient avec filiation depuis Bertrand d'Agout, son huitième aïeul, vivant en 1338, de l'alliance qu'il avait contractée, en 1619, avec Blanche d'Autric-de-Vintimille, fille de Gaspard , seigneur de Baumettes, chevalier de l'ordre du roi, et de Françoise de Simiane ; était issu entr'autres enfants :

Hector d'AGOUT seigneur de Bonneval, Piégon, Miallons, etc., qui servit longtemps dans les armées ; puis ayant épousé, en 1650, Uranie de Calignon, fille d'Abel de Calignon, conseiller au parlement de Grenoble, et petite-fille de Soffrey de Calignon, chancelier de Navarre, prit lui-même une charge de conseiller en cette cour; de ce mariage vinrent trois fils, qui furent : le premier, Charles, titré marquis de Montmaur, père d'Hector-Samson , baron de Montmaur, qui n'a laissé qu'une fille, mariée avec M. le duc de Montpézat, à Avignon, et de François, père du chevalier de Montmaur, lieutenant de vaisseau ; le second, Jean d'Agout, seigneur de Rochebrune et de Vorèppe, tige d'un rameau dont est issu M. le comte d'Agout de Vorèppe capitaine au régiment de Conti, dragons, et le troisième :

François d'AGOUT, IIe du nom, seigneur de Rochebrune, Beauvoisin, etc., qui se retira à Genève pour cause de religion, vers l'année 1685, et mourut avant l'année 1717. Il eut pour femme Madeleine de Fonfroide, et pour fils :

Basile-Benoît d'AGOUT, co-seigneur de Rochebrune, qui naquit à Genève en 1686 ; passa au service de Charles XII, roi de Suède, et se trouva à la bataille de Pultawa en 1709 ; fut rappelé en France en 1716, et fit abjuration de la religion prétendue réformée ; se maria, en 1717, avec Madeleine Marie Rigot de Montjoux, fille de César, seigneur de Montjoux, et mourut l'année suivante père de :

César d'AGOUT, chevalier, baron d'Auriac, etc., qui fut d'abord capitaine au régiment de Gatinais, puis reçu, en 1744, conseiller au parlement de Dauphiné. Il avait épousé, en 1741, Marie-Catherine Lovat, fille de Mathieu de Lovat, ancien avocat général du, même parlement. De cette alliance sont issus :

  1. François Edouard Augustin Vinceslas Hippolyte, titré marquis d'Agout, capitaine au régiment d'Orléans, cavalerie, né le 17 janvier 1746 ;
  2. Charles Constance César Joseph Loup Mathieu, grand vicaire de Pontoise, né le 16 février 1749
  3. Antoine Jean, titré vicomte d'Agout, qui est né le 2 novembre 1750, d'abord mousquetaire dans la première compagnie, depuis le 18 juillet 1766, jusqu'au 10 février 1768, est entré ensuite dans le corps royal d'artillerie, où il a eu rang de lieutenant en second, au régiment de Toul, le 3 juillet 1776, a été fait sous-lieutenant au régiment Royal Allemand, cavalerie, nommé le 21 avril 1777, capitaine réformé au régiment des cuirassiers du Roi, et y a été remplacé au mois de septembre 1780.

Nous Bernard Chérin, écuyer, généalogiste et historiographe des ordres du Roi ; et en cette qualité, commissaire nommé par Sa Majesté, pour lui certifier la noblesse de ceux qui aspirent aux places de sous-lieutenant dans ses gardes du corps ; certifions au Roi que nous avons composé le présent mémoire sur titres, originaux, à nous communiqués par Antoine-Jean, vicomte d'Agout, capitaine au régiment des cuirassiers du Roi, agréé par Sa Majesté pour être reçu sous-lieutenant dans la première compagnie de ses gardes du corps, commandée par M. le duc d'Ayen, ainsi que sur les livres manuscrits et imprimés du cabinet de l'ordre du Saint-Esprit, confiés à notre garde, et que ledit sieur vicomte d'Agout a satisfait, et beaucoup au-delà, aux preuves requises par l'ordonnance de Sa Majesté, du 28 mai 1777, qui fixe le terme de ces preuves à trois cents ans ; en foi de quoi nous avons signé le présent certificat. A Paris ce 28 mars 1781 (signé ainsi) Ch?

Depuis que ce mémoire a été dressé par M. Chérin, généalogiste des ordres du Roi, les branches de Chanousse et d'Upays se sont éteintes.

Les trois rameaux descendants d'Hector d'Agout, seigneur de Bonneval, mentionné ci-devant, subsistent dans les personnes de :

  1. Charles Louis, comte d'Agout, chevalier de Saint-Louis, officier de la Légion d'Honneur, lieutenant colonel de la cavalerie, né en 1790 seul rejeton du rameau de Montmaur ;
  2. Jean Antoine, comte d'Agout, commandeur de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, officier de la Légion d'Honneur, maréchal des camps et armées du Roi, né en 1753, chef de la branche de Vorèppe. Il est fils de Joseph Louis, comte d'Agout, chevalier de Saint-Louis, lieutenant colonel d'infanterie, et petit-fils de Jean d'Agout, seigneur de Vorèppe, mentionné au mémoire. Il a deux fils au service du roi : a. Hector Philippe, né en 1782 ; b. Alphonse Charles, né en 1794
  3. François Edouard Augustin Venceslas Hippolyte, marquis d'Agout, chevalier de Saint-Louis, maréchal des camps et armées du Roi, chef de la branche de Beauvoisin, né en 1746. Il a deux frères : A. Charles Constance César Joseph Loup Mathieu, ancien évêque de Pamiers, né en 1749 ; B. Antoine Jean, vicomte d'Agout, commandeur de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, de celui de Saint-Lazare, lieutenant général des armées du Roi, et premier écuyer de S. A. MADAME, duchesse d'Angoulême, né en 1750.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

cher gilles
bonsoir est-ce la famille de mabile d'agoult mariée avec rossolin Ier de fox.
existe t'il une genealogie comme celle de fox merci
encore patrice

Gilles Dubois a dit…

Je ne pense pas qu'il y ait plusieurs familles d'Agoult, votre Mabile d'Agoult doit être de cette famille. Reste à savoir où la raccrocher, ce qui est plus difficile. Pour l'instant, je n'en sais pas plus.